aux réunions, aux services et à la gestion des volontaires en ligne. Nous nous sommes mieux adaptés lorsque nous étions bien préparés ou lorsque nous avions investi dans le renforcement des capacités, dans la formation et dans de bons équipements et de bonnes connexions pour nos employés et nos volontaires.

La tenue des réunions en ligne a permis la participation d’un plus grand nombre de personnes, qui n’auraient en temps normal pas pu y assister ni accéder aux dirigeants. Cela a contribué à mettre en contact de plus nombreuses personnes et à faciliter un meilleur apprentissage et une meilleure gestion des données, et a permis de porter une voix plus inclusive dans les processus de prise de décision, à condition toutefois de disposer des connexions et des compétences appropriées.

Dans certains cas, de nombreux volontaires supplémentaires ont pu être engagés par voie numérique, et de nouveaux services ont été créés ou adaptés afin de pouvoir être fournis en ligne. La gestion des volontaires et les cours d’initiation à leur intention, organisés en ligne, se sont considérablement améliorés dans certaines Sociétés nationales, permettant de nouvelles formes de volontariat.

Le passage à une gestion et à des réunions en ligne a souvent permis de limiter les coûts et le temps nécessaires à celles-ci. Cependant, dans certaines Sociétés nationales, les employés ont constaté une hausse du nombre de réunions, se trouvant fréquemment dépassés par leur trop grand nombre.

Des inquiétudes ont émergé quant au retour aux pratiques « normales » d’avant la pandémie une fois que celle-ci s’atténuerait. Les personnes ont indiqué vouloir conserver les avantages obtenus en matière de travail numérique. De nombreuses personnes ont aussi estimé que nous pourrions nous servir de cette expérience pour opérer davantage de transformations.

Dans le renforcement des capacités numériques du personnel et des volontaires, en parallèle à des investissements dans les équipements, les outils et les connexions Internet. Dans un monde où le numérique gagne en importance, le risque d’exclusion des personnes concernées par la fracture numérique est de plus en plus grand.

de nombreux jeunes volontaires ont eu le sentiment qu’ils auraient pu être mieux employés pour aider à renforcer les compétences et les approches numériques.

les résultats du sondage ont mis en évidence la nécessité de porter une attention plus soutenue à la gestion de l’information, aux pratiques en matière de données et aux approches en matière de gestion des connaissances numériques.

une écrasante majorité de personnes se sont prononcées en faveur de modalités de travail hybrides pour l’avenir, reconnaissant tant les avantages respectifs du travail à distance et du travail sur place que les inconvénients de chacune de ces modalités, et la nécessité d’investir dans les deux de façon appropriée.